Sujet d'invention
La nuit tombe, et je sens la vie me quitter. Cela fait vingt-cinq ans que j’attends ce moment, et vingt-cinq ans que j’œuvre pour la liberté.. Aujourd'hui, je veux transmettre ma mémoire, et mes convictions. Georges, mon petit-fils ne devrait plus tarder..
Les pas de petit gamin raisonnaient dans la maison, et je l'entendis arrivé. Il respirait la jeunesse, et je ne pouvais que l'envié.
« Vous m'avez demandé Grand père? » lança t-il en arrivant. Approches Georges..
Ce petit être, avança à mon chevet, qui de bois, respirait la mort.
« Je vais partir Georges, mais avant ça, je vais te conter une histoire, qu'il faudra que tu contes toi aussi à tes enfants »
Il ouvrit de grand yeux, laissant glissée une larme sachant que son grand père ne serait bientôt plus, et écouta..
« Il y a vingt-cinq ans, le vingt-sept juillet, mille huit cents trente, alors que je travaillais tranquillement à la mine, un de mes confrères apporta une nouvelle. Il était essoufflé, à croire qu'il avait couru pendant des années et des années. Il était très heureux, vois tu gamin, le roi d'autrefois n'était pas tendre, et ce message, était celui de combattre avec nos amis, frères, contre ce tyran. Nous avons tous droit à notre liberté, ne l’oublies pas..
« Ça aura lieu demain », voilà ce qu'il avait dit. Tu imagines bien que nous avons tous quitté notre travaille, et nous sommes rentrés chez nous nous préparés. » lui expliquai-je.
Grand père, vous aviez des armes ? Oh mon petit, j'avais un beau fusil caché quelque part dans cette maison. Je suis donc rentré à la maison, et le fusil caché je ne sais plus où, et je l'ai posé à coté de la porte, puis je suis allez me coucher. Ce fut la nuit la plus longue de ma nuit, et la plus excitante !
Je le voyais, écoutant attentivement, ses yeux brillaient à mes paroles, il n'écoutait pas, il buvait. Je voyais tout dans ses yeux, s'imaginant en haut d'une colline, brandissant son arme, et criant