Sur une virgule
Maïssa BEY nous promène à travers « Sur une virgule » dans son pays d’origine, qui se débattait, et se débat encore, entre tant des conflits (religieux, culturels, moraux, raciaux, entre autres.). On pourrait dire qu’un des conflits le plus remarquable c’est la figure autoritaire de l’homme qui semble à s’y méprendre à celui de Dieu. Dans ce cas-ci, on essayera d’aborder les aspects comparatifs mis en reliefs par Maïssa BEY dans son écrit: « Sur une virgule » .
L’histoire principale est racontée par « Sarah », qui trouve le journal intime d’une jeune fille appelée Marie. Ce-deuxième y raconte, en tout détail, la grande histoire d’amour vécue pour elle en compagnie de Jean-Paul. Cette histoire amoureuse se déroule dans un contexte de guère existant à l’époque.
Sur une virgule est, sans aucune doute, un récit remplit d’émotions, d’images, de pensées, d’histoire et de romance.
Dans ce récit on constate le recours comparatifs utilisés par l’auteure. C’est tout à fait remarquable que Sarah se met en rapport persistant avec Marie. On distingue ce dernier dans les extrais suivants :
« Il est entré en moi avec ses mots à elle »
« Une longue chevelure sombre en tous points semblable à la mienne »
« Pour moi Marie a dix-huit ans, mon âge. Et c’est à moi qu’elle ressemble »
« Moi non plus, je ne supporte pas les regards des hommes »
On pourrait supposer que ces comparaisons sont faites, car Sarah a un gros envie de trouver le véritable amour chez-elle. Donc, elle se met dans la peau de Marie pour essayer de sentir ce qui ce-dernière sentait. On l’apprécie ci-dessous :
« Le temps d’imaginer les bras d’un garçon autour de ma taille, son visage penché sur moi, une mèche rebelle retombant sur ses yeux et les mots qu’il pourrait me dire. »
Par-là de même,