Synthèse en 522 mots
Le jeudi 19 juillet ,2007 dans la page du journal le ont été publiés deux articles au sujet de l’homme vivant dans des conditionnes extrêmes.
Ces articles étaient des extraits de deux conférences traitant deux conceptions divergentes du rôle des organisations humanitaires dans la survie de l’homme placé dans des conditions extrêmes. l’’universite de tous les savoirs (UTLS) en partenariat avec la mairie de paris a reçu les deux conférenciers : Marc-Antoine Pérouse de Montclos, enseignant a l’institut d’études politiques á paris concernant , et Jacques Hassin, médecin au centre d’accueil et de soins hospitaliers de Nanterre au sujet
Hasssin, à partir de sa position et ses expériences vécues en tant que soignant, veut transmettre et nous faire comprendre la vie de ces personnes qui vivent dans la rue de nos villes : les SDF. Il évoque leurs conditions de vie, les mauvaises circonstances dans lesquels ils vivent, leurs moyens de survie (faire la manche), leurs difficiles journées, leur souffrance, une vie où n’existe pas la notion du temps ni de vie privée. Victimes d’un manque de solidarité, d’assistance social, et médical, mais surtout vivant la condition la plus difficile : l’isolement psycho affectif.
Pérouse, mentionne les conditions de vie dans les camps de refugies qui se trouvent dans des régions et sous-développées, ce sont des espaces fermés et isolés, qui sont souvent associés aux lieux de trafic, de prostitution et de violence. Cependant, il veut souligner que les occupants des camps de refugies jouent un rôle économique, politique et aussi militaire. Il compare les camps a des marches très actifs qui bouleversent les économiques régionales avec ces population qui luttent, cherchant des moyens de subsistance.
Hassin affirme que les SDF sont des gens qui ne peuvent pas se projeter dans l’avenir, que leur existence se déroule dans la rue, et l’aide qu’offrent les