Synthèse sur la dune de la Tresson à Noirmoutier

Pour commencer nous avons donc observé la dune, en essayant de reconstruire par différents indices sa morphologie, notamment sur la qualité de son sol, et les différentes plantes qui la composent. De ce fait, nous avons pu diviser la dune en Corinne Land cover.
Tout d’abord la ligne de rivage instantanée varie en fonction de la mer c'est-à-dire où les dépôts d’algues s’arrête. Cette zone s’appelle la zone intertidale, mais le problème c’est pour la délimiter car elle varie en fonction de la force de la marée donc elle bouge tout le temps. Or, lors de la tempête la marée s’est exceptionnellement attaqué au haut de plage, plus communément appelé la zone supratidale c'est-à-dire la partie haute du trait de côte. Dans cette zone la mer a charrié des tonnes de détritus et de bois qui était encore visible encore un mois après la tempête. D’autres parts on a pu observer qu’au niveau du haut de plage, il y avait eu un recul notoire de cette partie d’environ 80cm. Cette érosion rapide est très importante et a laissé apparaître les racines d’oyat présent dans les avant dunes. Par la suite, ce haut de plage va se reconstituer naturellement par l’apport régulier de sables venu de l’estran et qui vient se déposer sur l’avant dune au départ.
Après s’être attardé longuement sur les caractéristiques du trait de côte, et des conséquences de Xyntia notamment sur la morphologie de ce trait de côte. Nous nous sommes intéressé ensuite à la dune blanche car exceptionnellement il n’y a plus d’avant dune car elle fût détruite par la tempête.
Pour ce qui est de la dune blanche, on a observé la présence de beaucoup de sables sur la végétation. Ces dunes sont à un état moyen car elles subissent encore grandement l’érosion avec le vent et le piétinement notamment et forme des dunes précaires en barkhane qui changent longueur de temps de formes. Ce milieu est très fragile et instable car ce ne sont qu’au départ que des dunes