Nous avons choisi de faire une étude comparative des systèmes éducatifs français et finlandais afin de savoir si une transposition de ce modèle éducatif qui performe était applicable à la France. C’est tout d’abord ma curiosité qui m’a motivé à choisir ce sujet. En effet, ayant fréquenté un collège de banlieue témoignant parfaitement du courant laborieux que prend notre système éducatif, j’ai cherché à comprendre comment un pays aussi reculé que la Finlande, réussit à attirer l’attention de l’opinion publique mondiale de par son système éducatif performant seulement. La présence d’une élève finlandaise dans notre classe et la médiatisation de ce sujet ont d’autant plus motivé ce choix. La formation de notre groupe de travail s’est faite en fermant les yeux sur les capacités de travail de chacun, afin de ne pas paraître discriminatoire dans la répartition des tâches.
De nombreuses sources m’ont permis de produire ma part dans ce sujet. Ma partie portant sur l’évaluation des systèmes et le rapport PISA, j’ai tout d’abord consulté l’énorme site de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE), extrêmement riche en données et analyse approfondies et neutres. Ensuite, le fait que notre objet soit un sujet d’actualité implique sa médiatisation considérable. Les principaux médias que j’ai consultés sont les versions internet des journaux « Le Monde », « le Figaro », « Le Point », et «Alternatives économiques ». L’interview de ma camarade finlandaise m’a apporté quelques points essentiels dans ma sous-partie sur les limites du système éducatif finlandais, et quelques questions posées à un de mes parents, instituteurs, m’ont apporté des réponses en rapport avec ma sous-partie sur les vives critiques du système éducatif français et de ses inégalités. Enfin, la page internet de Paul Robert, principal de lycée français connu pour ses voyages d’études en Finlande m’a apporté beaucoup d’informations sur les limites du système finlandais.
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