Dans ce texte du chapitre IV « Remarques Finales », Bergson éxpose l'imagination et l'invention de machines remarquables bien avant le progrès de la science « l'éclosion de la science moderne » dit-il. Bergson semble vouloir montrer que l'invention de machines est un tous est qu'elle est plus ou moins indépendente, donc ne dépend pas entièrement de la science. [Analyse du texte] Ce début de texte nous montre que de très nombreuses technique se sont développés efficacement sans s'appuyer sur des connaissances scientifiques. L'action technique se juge pricipalement à son résultat, il ne faut pas agire n'importe comment, et c'est la nécessité de réussir et qui est bien sûr essentielle à la technique qu'il faut du savoir. Cela paraît indispensable. Ce savoir est-il le savoir scientifique ? « aujourd'hui encore de simples ouvriers, sans culture scientifique, trouvent des perfectionnements auxquelles de savants ingénieurs n'avaient pas pensé. » Pour agir techniquement, il faut du savoir-faire, de l'art. L'art de batîr une machine... Cela ne consiste pas simplement au savoir scientifique . Le savoir et le savoir faire est différant. Un scientifique par exemple peut expliquer une machine mais ne peut peut être pas la réaliser. Or, celui qui ''invente'' est capable d'invention. Pas seulement d'habileté manuelle , gestuellement permettant d'éxectuer une technique appris. Il s'agit d'un aspect essentiel de l'activité technique, qui préside à son évolution. La technique n'est pas découvert mais elle est inventée. La science ne semble donc pas toujours nécessaire à la technique Le therme ''technique'' c'est tout d'abord ne pas procéder dans l'ignoranceet un savoir faire. C'est l'efficacité de réaliser et d'inventer. D'ailleurs, Bergson dans son texte ne dis pas une fois technique mais « invention mécanique », « l'invention mécanique est un don naturelle ». Il faut être capable d'inventer et de réaliser ces machines. « ce jour fût celui de l'invention de la machine à vapeur