Texte de Hume

1992 mots 8 pages
Vivre, c'est naître, grandir, vieillir et mourir. Il n'est pas rare de constater que le temps est capital, essentiel envers l'homme. Une chose où l'on doit organiser, planifier, programmer, de façon à être le plus heureux possible. L'expression «la fuite du temps» nous fais penser à un moment tragique, que l'homme doit entretenir sans cesse. La métaphore de la fuite exprime réellement la rapidité, quelque chose que nous sommes pas en droit de maîtriser. Le plus souvent les hommes disent que le temps passe trop vite, s'écoule. Le temps nous est compté, comme si nous étions des condamnés, en se rapprochant de plus en plus de la mort. Il ne semble pas absurde de dire que les hommes ont l'urgence de vivre, de vivre au jour le jour ainsi d'agir pendant qu'il est encore temps. Volontiers on pourrait imaginer que les hommes réagissent de cette facon, puisque la vie est tellement fragile alors les hommes lui donne une infinie valeur. Mais le temps est souvent considéré comme destructeur, quelque chose qui nous donne pas la sensation d'être heureux à chaque instant. La fuite de temps, éventuellement peut nous faire comprendes des choses sur la vie, nous faire évoluer, nous rendre plus mature. Pour qu'il y ait la présence de bonheur, il faut qu'il ait destrcution du passé, et la fuite du temps nous aident à tourner la page de certaines choses.
Le temps, d'une manière ou autre, peut être irréversible.
Doit-on éviter le temps comme un ennemi ou en faire son ami? Est ce que le temps fait de nous des victimes ? Pourrions nous lutter contre cette fuite de temps ou alors en tirer profit dans notre vie?
Nous verrons que la fuite du temps est destructeur pour l'homme puisque celui ci pense que la fuite du temps est inssaisissable, irréversible, et que l'homme comprend qu'il y aura une fin. Peut être comprendrons nous que la fuite du temps n'est pas seulement un malheur pour l'homme puisqu'il lui permet de se construire, de voir de nouvelles choses, cela montre aussi que

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