Texte de platon commenté
Le texte étudié est un extrait d'une œuvre de Platon dont la thèse est « Tant que nous aurons le corps associé à la raison, nous n'atteindrons jamais complètement la vérité ». On pourra analyser ce texte en deux parties : d'abord la contrainte et les misères corporelles, puis la mauvaise attitude en général du corps.
Il y a des besoins vitaux beaucoup plus importants dans un futur proche que des besoins philosophiques et moraux. C'est le corps qui est remis en question par rapport aux fait que sans cesse, on doit s'en occuper afin qu'il fonctionne bien. La faim, la soif,... sont les exemples les plus courants. Et chacun d'entre nous avec son corps doit résoudre ces problèmes quotidiennement : « nous cause mille difficultés par la nécessité où nous sommes de le nourrir ». Pour arriver ces fins, l'homme doit travailler afin de subvenir à ces besoins de l'existence. Par rapport à la thèse, cela peut sembler nuisible car le travail accapare l'esprit et l'occupe dans des tâches étrangères et concrètes au détriment du souci de la vérité et de la philosophie. Or, d'après les grecs de l'antiquité, l'utilitaire est lié au servile car tant que ces Hommes n'ont pas pratiqué des activités philosophiques et surtout libérales, l'esprit ne pas être libre, et ne peut ainsi connaître la vérité. L'esprit appartient aux actes du corps aliénés à des impératifs extérieurs.
Et pourtant, le fait de satisfaire son corps au niveau des besoins primaires n'empêchent pas le développement de maladies. Ce qui montre la fragilité du corps. Il y a ainsi une véritable « chasse au réel » dans le sens où un organisme muni d'un cerveau a la capacité de pensée mais avec une lésion cérébrale dû à une maladie, le cerveau est réduit à la condition de « légume ». Cette situation n'est pas cependant chose courante mais l’Être Humain est quand même confronté fréquemment à des problèmes physiques. La santé est donc un luxe nécessaire au bon exercice de l'esprit.
Après, il évoque