Texte argumentatif sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes
C'est la répugnance à voir l'autre souffrir. On n’éprouve aucun plaisir de faire du mal aux autres. On doit s’intéresser à ce qui est nécessaire pour nous, avoir faim et de ne pas avoir mal. Ce n’est pas de l’égoïsme mais de l’amour de soi. Rousseau critique une forme d'intellectualisme de soi. C’est une prestance, c’est être ce que nous ne sommes pas, vouloir montrer des capacités que nous n’avons pas. C’est ce que critiquent les femmes des Halles. Pour être en accord avec nous même, on doit partir de « nous », pour pouvoir nous préserver. A la ligne 6, le « si », montre qu'il faut éviter d’enlever la nourriture au vieillard infirme ainsi qu’au faible enfant, si je sais que je peux être dans la capacité d’en trouver ailleurs. J’éprouve de la pitié envers eux. Cependant, le « si » marque une condition. Ce qui est critiqué ici, c'est l'exigence la perfection. La pitié conduit moralement à la modestie. Une personne modeste, c'est le fait de ne pas être prétentieux, c’est …afficher plus de contenu…
Rousseau veut montrer qu'il ne faut pas attendre de la morale c'est à dire la vertu d'être acquise par la raison seulement par la raison point c'est à dire qu'elle doit être indissociable de la sensibilité et être complémentaire avec la pitié et l'amour de soi. Rousseau réponds alors grâce à cette phrase à notre question ou le ou était en fait ici ambivalent car il ne voulait pas montrer une différence nette entre la sensibilité et la raison mais plutôt former un accord entre ces 2 termes pour avoir la morale. La raison doit alors être à l'écoute de notre sensibilité ce qui permet notre ouverture à l'être ainsi que au monde du vivant. et l'articulation entre la raison et la sensibilité permet à l'être humain