Lorsque John Smith a plaidé coupable à un cambriolage mineur devant un tribunal du Mississippi tôt ce mois-ci, le juge John Whitfield décidé qu'il y avait peu à gagner en l'envoyant en prison. Au lieu de cela, le juge a ordonné Smith se tenir debout sur un coin de rue pendant trois heures sur chaque pendant trois jours, portant une pancarte qui disait: «Je suis un voleur condamné». Si c'était le dernier d'une ligne controversée des peines créatives de juges américains qui sont de plus en plus se tournent vers l'humiliation publique dans la lutte contre la criminalité. Le mois dernier, a ordonné Whitfiel une femme condamnée pour trafic de drogue à porter une pancarte qui disait: «. Je suis un criminel reconnu coupable, j'ai vendu des médicaments d'ordonnance.». Une autre personne a été condamnée à se tenir sur un coin de rue achalandé à Biloxi avec une pancarte qui disait: «Je suis condamné conducteur ivre". Juge Joe Brown, de Memphis, Tennessee, permet aux victimes de la compensation inhabituelle de visiter la maison du voleur de "voler" un point de retour. Un juge de l'Ohio a dit une femme battue, elle pourrait cracher au visage de son mari. Le juge de Milwaukee à Miami ont été s'invitent à l'acte, en imposant des punitions publiques inhabituelles qui sont destinés à la honte des délinquants dans un plus grand respect pour la loi. La tendance a suscité un vif débat sur l'efficacité pratique et l'acceptabilité morale de l'humiliation publique. Ses partisans disent que la honte crée un puissant moyen de dissuasion à un large éventail de crimes potentiellement embarrassantes, comme l'abus de battre sa femme, ivre au volant et de l'enfant. Ses détracteurs se plaignent que le juge sont plongeant l'Amérique de nouveau dans le 17ème siècle, quand méchants ont été placés dans les stocks publics et condamné les adultères portait une lettre écarlate A sur leurs poitrines. Bien que le phénomène est trop récent pour l'analyse scientifique, les juges qui sont de plus