Texte 6
Le suicide de manière sociologique
Durkheim : Le suicide est bcp + qu’un acte de désespoir individuel découlant d’un trouble psychologique, comme le voulait la croyance de l’époque. A montrer que des forces sociales exercent une grande influence sur le taux de suicide.
Les juifs présentaient le taux le plus élevé de troubles psychologiques parmi les principaux groupes religieux en France, mais le plus faible taux de sucide.
L’int.gration sociale des ind : la possibilité ressentie et vécue de se sentir membre à part entière d’une communauté et d’être estimé pour le rpole qu’on y joue, constituait une variable explicative fondamentale du phénomène du suicide.
Appartenance religieuse : Stat euro. Montraient que les protestants, suivis des catholiques, se suici. Davantage que les juifs pratiquants. Les prot sont en qulques sorte des « individualistes religieux » moins soumis aux dogmes et aux autorités religieuses que les catholiques et surtout les juifs qui, eux, constituent des communautés plus intégrés.
Adultes mariés sont 2 fois – susceptibles de se suicider que les autres adultes non mariés du fait que le mariage crée un lien social et constitue une sorte de ciment moral qui lient les ind. À la société.
Femme – car investissent ds les relations intimes de la vie familiale.
Perso. Âgés plus tendance à se suicider car souvent vivent seules, avoir perdus un conjoint, et de ne pas travailler et de ne plus avoir bcp d’amis.
Québec : Taux de suicide le plus élevé : Trois forces sociales
Anomie ;
1- L’urbanisation rapide est une des forces sociales ayant contribué à l’anomie grandissante des Quebcois, La construction d’autoroute modernes, de gratte-ciels imposant et de banlieues tentaculaires a marques les années 60. Qub n’étaient plus une privince rurale, et les citadins ne pouvaient plus garder une mentalité de paysans.
2- Le déclin du catholicisme : Can-franc éprouvaient un sentiment d’appartenance à la comm. Catholique. L’éclatement de l’Église