théorie littéraire
Le mythe repose sur des allégories .Leiris manie les allégories à la fois dans leurs sens classiques comme le squelette armé d une faux = la mort et dans leurs sens moderne ou l’allégorie n’est plus illustration mais expression. Or pour Leiris pas de différence entre le classique et le moderne.
L’allégorie est un objet de partage de connaissance entre l’auteur et le lecteur. Selon Philipe Lejeune (un spécialiste français de l’autobiographie) « l’allégorie permet aussi d’établir une communication avec autrui »
L’allégorie est une figure ambigüe , susceptible d’une pluralité de lecteurs et de significations supports donc d’une quête sur la langue commune auteur/lecteur.
L’allégorie est e support d’une analyse métatextuelle dans l’âge d’homme, allégorie de l’allégorie (54-55) un caractère sacré et poétique permet la transfiguration et la quête d une vérité par l’image et le langage.
Le mythe dans la mesure ou il est associé à un rituel qui le met en acte, se trouve être à la fois narration du fait passé que le rite reproduit plus ou moins symboliquement une explication de l’origine de ce rite sa fondation par des ancetres et grace à ce mythe on s’attend à ce que les choses se reproduiront de même maintenant et dans l’avenir appelées à une série indéfinie d’identiques reproductions par la continuelle répétition du rite la reproduction de l’œuvre de Granach l’Ancien Judith et Holopherne elle est à l’origine de son œuvre mais aussi de l âge d homme parce qu’ elle représente son propre dame regroupant la majorité des éléments qui touchent Leiris : nudité, érotisme cruauté mythe (un passage important puisque