thérèse raquin d'emile zola
Introduction : Nous allons vous présenter un des grands thèmes présent dans l’œuvre d’Emile Zola, la violence. Elle est présente dans les gestes durant le meurtre mais vous verrez qu’il y a d’autre genre de violence, il y a aussi de la violence dans l’enfance de Camille et dans les pensée des deux amants.
I) Une enfance surprotégée
1. La maladie.
Camille à vingt ans, cela fait vingt ans qu’il vit avec beaucoup de problèmes, il a échappé plusieurs fois à la mort, il a eu coup sur coup toutes les fièvres et toutes les maladies imaginables. (Page 20). On peut donc voir dans ce roman que la maladie de Camille est d’une grande violence pour lui, lorsqu’il échappe à la mort, et quand il dit que sa mère les droguait.
2. Une mère surprotectrice.
(Lire page 27) A cause de la maladie Camille à toujours vécu à l’écart des autres, privé de son adolescence, « Camille, dont la maladie avait appauvri le sang, ignorait les âpres désirs de l’adolescence » (page 25)
Surprotégé par sa mère, qui a failli le perdre à plusieurs reprises. Elle lui avait écrit sa vie, elle avait déjà tout prévue, tout organisé, jusqu’au jour où il décida qu’il irait vivre à Paris, car il y en avait assez de tout cet univers calme, monotone, tranquille et inactif. Il avait envie de vivre comme les autres malgré sa petite taille et son corps maigre et malade. Il voulait un métier comme les autres.
II) Un crime passionnel
1. L’envie de tuer.
Laurent et Thérèse, les deux amants, n’en peuvent plus de devoir se cacher pour se voir et à la fin de ne même plus pouvoirs se voir. Tout cela à cause de Camille. Lors d’une rencontre amoureuse un soir, Laurent dit clairement à Thérèse que ce serait plus simple si Camille mourait. (cf p73-74/ p75-76) Laurent ne pense plus qu’au meurtre, à la façon dont il va tuer Camille. (cf p77)
2. L’élaboration du crime.
Comme dit précédemment, Laurent ne pense plus qu’au