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— le personnel des services supports (qualité, maintenance, méthodes...). En effet, lors de ces démarches TPM, une autonomie est donnée à chacune des composantes des groupes TPM et il peut arriver que le personnel de terrain ait besoin d’une information financière ou commerciale. Un refus d’information serait mal vécu par les groupes TPM, d’où la nécessité pour tous de bien connaître le fonctionnement de ces groupes. Lors de ces réunions, la présence du directeur de site est un facteur de réussite. s Étape 3 : structure de promotion TPM Cette étape sert à définir l’organisation à mettre en place dans le cadre de cette démarche. Elle permet également de définir les différents groupes et la composition du groupe de pilotage. s Étape 4 : définition des enjeux La TPM est une démarche d’amélioration des performances de l’entreprise. Avant de vouloir améliorer une performance, il faut valider cette performance et mesurer les enjeux potentiels. Souvent, les performances affichées ne correspondent pas à la réalité et une première action consiste à redéfinir le niveau de performance par rapport à une base 100. Puis, en fonction des informations existantes, évaluer l’écart avec cette base 100 et déterminer les objectifs possibles en quantifiant les gains potentiels en termes de « manque à gagner ». C’est ce manque à gagner qui servira de « bras de levier » pour financer les différentes actions à réaliser dans le cadre de cette démarche. Ce manque à gagner doit être validé par la direction et la comptabilité. Il s’exprime souvent par le « coût de perte de production » horaire. En plus de cet indicateur, nous pouvons y ajouter des indicateurs de présentéisme, de qualité, de délais... Ce sont les groupes TPM qui se fixent les objectifs à atteindre, sous forme de paliers successifs (de 3 à 6 mois) afin que chaque individu apprenne à