Travail en collaboration
Il est atteint de la maladie de Parkinson, traitée par Modopar*, ce qui rend sa mobilité difficile. Il se déplace en fauteuil roulant.
Il a besoin d’une aide pour ses soins d’hygiène quotidien et est incontinent urinaire et fécal.
Monsieur P a comme antécédent un AVC sans séquelles et deux prothèses totales de hanche.
Pour ses soins quotidiens d’hygiène, Monsieur P fait appel au SSIAD de sa ville qui vient deux fois par jour. Deux personnes viennent afin de le lever, d’effectuer des soins d’hygiène et pour le coucher.
Elles viennent tous les jours à 8h et 18h30.
Pour son pansement d’escarre, une infirmière vient trois fois par semaine (le lundi, le mercredi et le vendredi) aux alentours de 10h.
Le médecin traitant vient une fois par mois afin de suivre la pathologie du patient et de renouveler ou modifier ses ordonnances.
Il vient aux alentours de 9h.
Le kinésithérapeute vient cinq fois par semaine (le lundi, le mardi, le mercredi, le jeudi et le vendredi) à 11h afin de faire marcher Monsieur P et de mobiliser ses mains et ses bras.
Une aide-ménagère vient cinq matinées par semaine (du lundi au vendredi) de 9h à 12h pour préparer les repas et effectuer le ménage.
Pour effectuer les courses, la fille de Monsieur P vient une fois par semaine. La femme de Monsieur P est là au quotidien pour aider son mari.
Pour coordonner ses différents partenaires, il existe un dossier de soins où l’on peut faire ses transmissions dans le salon. La femme de Monsieur P, étant au domicile au quotidien tient un grand rôle dans la communication entre ces différents