TRAVAIL FRANCAIS
Posséder différents objets est une source de bonheur un besoin de procuration. L’objet joueraient-ils donc aujourd’hui le procédé par lequel ont s’attacheraient a d’ancienne tradition?
Les objets quotidien dont parle les documents, qu'il s'agisse de l'automobile, de la boîte de conserve ou encore bien d’autres objets, ils sont contemplés ou dotés de sorte de pouvoirs comme des objets fétiches pour certaines personnes, Ils exercent une attraction particulière et un grand désir qui est poussée au maximum dans le grand magasin « Bonheur des dames ». Emile Zola décrit un processus d'idéalisation des objets qui fait faire un achat compulsif a des clientes, portées par des envies soudaines ce que peut provoquer la attachement quasi religieux a l’objet. Ce culte voué a l'objet a été analysé par Roland Barthe qui s'interroge au milieu des années cinquante sur les nouvelles incarnations de notre mythologie, tradition, culte moderne. Tout cela intervient pendant une période phare pour l’industrie de la consommation, la période des Trente Glorieuses. Pendant laquelle la production industrielle connaît un véritable essors: l'objet est fabriqué en série, chacun souhaite le posséder ce qui lui donne une valeur que je qualifierais de symbolique. Andy Warhol illustre dans ses oeuvres d'art une boîte de conserve, qui est un objet quelconque, banal, en objet culte qui est susceptible de comble nos besoins ainsi que notre bonheur. La boîte de conserve n'est plus une boîte, elle devient alors un symbole. Cela concrétiserait ainsi un désir lié étroitement a la réussite, comme l'explique Roland Barthes : posséder la DS 19 est finalement un rêve pour acquérir une ascension sociale. Dans le roman « Madame Bavary » fait en 1856, monsieur Flaubert analysait déjà l'achat d'objets souvent inutiles, mais qui subviendront aux pulsions des consommateurs. Néanmoins, le fétichisme de l'héroïne n'est pas seulement porté sur le sexe, Sigmund a mis en sous les