Tristan et iseult
Dans cette partie (l.1 à l.21), Tristan tente de rencontrer sa dulcinée, mais il remarque le roi Marc dans le reflet de l’eau. Iseult sent le piège aussi et tente de trouver une solution à cette fâcheuse position. L’auteur utilise le champ lexical du bassin : fontaine (l.3), canal (l.4), bassin (l.6), eau (l.8), eau (l.12), bassin (l.17), surface (l.20), reflet (l.21). Ce qui démontre que l’action se passe autour du bassin.
L’auteur grâce à l’allitération des consonnes (L) vient accentuer le fait que toute l’action se passe autour de l’eau et permet de créer une cadence musicale. (… à la clarté de la lune, le visage de son oncle qui se reflétait, encadré par le feuillage, dans le miroir d’eau tranquille.) Il se sert aussi de la métaphore pour montrer que les copeaux se rendent rapidement dans le bassin vert la chambre des femmes. (… il vint droit à la fontaine et y jeta des copeaux, gravés de lettres, qui ne tardèrent pas à courir, légers, dans le canal à travers le jardin et ver la chambre des femmes.) L’auteur se sert d’une seconde métaphore pour montrer que le roi Marc est bien camouflé par le feuillage. (… encadré par le feuillage…). Donc grâce au champ lexical, l’allitération et la métaphore l’auteur tente de mettre dans le contexte que