Tristan et yseut
Vers 1170
Roman, écrit en langue romane.
Renvoie à l'auditoire : « sachez » ( ligne 38 ).
Scène : partie d'une action, détaillée.
Insistance sur les relations entre les personnages.
Travail sur le rythme.
=> Réalisme : création d'une illusion du réel.
A la fin le narrateur n'est pas aussi extérieur que ça.
( Le roi Marc est l'oncle et le suzerin de Tristan ).
Souffrance liée à l'amour entre Tristan et Yseut, Tristan est un « mendiant », malgré qu'il soit quand même seigneur.
Présence d'une forte argumentation.
Exclusion de Tristan; monde féodal, engagement solennel.
Ogrin : respecte à peu près la loi des hommes, par contre respecte totalement la loi de Dieu.
Trois éléments autour desquels tourne le roman : la loi des Hommes, la loi de l'amour, la loi de Dieu.
Tristan oppose l'amour au féodal : voir lignes 26 à 28.
L'Eglise et l'Etat ne sont pas séparés.
Tristan souhaite « affronter » Yseut, mais elle ne veut pas.
Ogrin est compréhensif envers les deux personnages.
Les deux personnages n'ont pas le droit d'être heureux car ils transgressent les règles de l'amour.
L'ermite est l'opposé des barons et des rois.
Les amours romanesques sont souvent malheureux ou alors ils sont liés à l'adultère.
Deux idéologies qui s'affrontent : chevalerie / féodal + amour.
Plan possible :
I – Des sentiments animés a ) Un amour opposé à la féodalité b ) Une souffrance liée à l'amour
II – Deux protagonistes de pensées opposées a ) L'assurance et la combativité de Tristan b ) Le refus d'Yseut c ) Un ermite compréhensif
III – Un récit d'un nouveau