Tristesse philosophique
Son absence se fait ressentir chaque seconde un peu plus et cela partout..
C'est dur d'y croire encore plus de réaliser.
Si seulement il s'était confié.. Mais avec des "si", il serait encore parmis nous.
Les larmes coulent.. Le chagrin & la peine nous envahit..
Alan.. Pourquoi ? Tu laisses un tel vide par cette affreuse et tragique nouvelle..
Nous sommes tous tellement bouleversés.
Toi, plein de vie, de sourire, de joie de vivre..
On sait que tu n'aimerais pas nous voir dans un tel état où que tu sois mais voila, nous ne sommes pas maitre de nous même dans ces moments si douloureux. Pour moi le désespoir c'est toute autre chose...
La tristesse nous fait vivre, elle fait, jour aprés jour, partie de nous...
Il peut y avoir des belles tristesses, la nostalgie...
Le désespoir est noir...il implique souvent le vide...quand on ne sais plus quoi faire...
Souvent le désespoir semble irremédiable alors que la tristesse est toujours dù à quelque chose en particulier ou a un autre sentiment tout simplement...
Il est souvent plus facile de s'arracher à la tristesse plutot qu'au désespoir...
Je distinguerai aussi tristesse et désespoir. Mais je ne sais pas si je dirai que le désespoir est obligatoirement maladif. Parfois, les personnes sont des situations où objectivement on conçoit qu'elles désespèrent.
Sinon le titre du sujet "la tristesse d'un point de vue philo" m'a fait penser à Epicure (ou comment lutter en profitant de ce qu'on a, en appréciant les petits plaisirs quotidiens...) et Sénèque (ou comment accepter ce sur quoi on n'a pas de prise pour éviter de se rendre malheureux justement)
"Mais la société qu'ils forment leur serait inutile s'ils continuaient à vivre selon leur caprice, à pourvoir chacun à son existence suivant les moyens qui leur paraissent bons, à appeler bien uniquement ce qui leur plaît et mal uniquement ce qui leur déplaît, et s'ils s'appliquaient à