Umberto Eco
Il se réfère, en outre, à des linguistes, tels Jakobson et Pierce, et à des essais sur la traduction, parmi lesquels : Après Babel, de George Steiner, Le Paradigme de la traduction et Défi et bonheur de la traduction, de Paul Ricœur et de lui-même, entre autres, il veut comparer les traductions : comprendre les choix opérés par les traducteurs.
D’abord en se servant de la traduction de Silvie de Nervalm le critique littéraire illustre le problème de relativité de certaines notions par la difficulté qu’il a rencontré pour traduire le terme « chaumière ». Il savait qu’une chaumière était une humble et petite maison de paysans faite de pierre au toit de chaume. Cependant, aucun terme italien ne se rapporte à une telle maison qui remplit tous ces critères. En effet, le mot ‘capanna’ en italien serait en bois ou en paille……………………………..1
Autrement dit, il faut s’adapter, on doit renoncer à certaines significations pour faire ressortir celles qui sont essentielles dans la compréhension du passage ou pour faire sentir l’atmosphère au lecteur. ……………………………………2
Ensuite, Il montre ainsi que l’équivalence entre signifiant et signifié est relative et qu’il faut utiliser avec précaution des synonymes, surtout dans la traduction.
Umberto Eco souligne qu’il ne faut pas mettre un signe d’égalité entre « signifié » et synonymie. Le signifié doit être plutôt compris comme ce qu’une entrée de dictionnaire ou d’encyclopédie fait correspondre à un terme donné. ………………………………………….3
Selon Peirce, pour etablir le signifie d’un signe, il est necessaire de le remplacer par un autre signe ou un ensemble de signe, ai ainsi de trouver l’interprenten final (d’un autre point de vue est le sens profond et l’effet conclusif d’un texte). Pour comprendre ce que Peirce veut dire, il faut