Un baiser légal ne vaut jamais un baiser volé
Dépasser les limites prescrites par les lois, les règlements et les règles apporte de meilleures sensations de plaisir et d’exaltation, ce qui pousse certaines personnes à le faire. Cette phrase, écrite par Guy de Maupassant, est une comparaison. Elle met en valeur une inégalité entre le légal et l’illégal, ce dernier étant exprimé par l’adjectif « volé », pour montrer que les sensations et le plaisir ressentis par l’un et par l’autre ne sont pas les mêmes. Pour comparer ces deux termes, il utilise l’exemple du baiser. Cela montre qu’un baiser légal ne fait pas ressentir la même sensation qu’un baiser volé. Il est important, dans cette phrase de comprendre deux termes. Tout d’abord le « baiser légal », plus précisément le terme « légale ». En-effet, ce terme montre clairement que la baiser a été fait sans dépassement de limite, c’est-à-dire qu’il respecte la loi ou éventuellement un règlement ou une règle. Dans ce cas-là, il est plus ou moins ordinaire, il n’a rien de « révolutionnaire ». Le deuxième terme à définir, c’est le « baiser volé », plus précisément le terme « volé ». Ce-dernier, illustrant l’illégal, montre que le baiser a été fait en dépassant ce qu’autorise la loi, un règlement ou une règle. En quelques sortes celui-ci n’est pas ordinaire car il n’a pas été fait dans les limites fixées par la loi, les règlements et les règles que la majorité des êtres-humains respectent.
Etant en adéquation avec cette phrase, je vais la prouver avec des arguments et des exemples qui montreront la justesse de cet énoncé.
Lorsqu’on lit cette phrase, il vient tout de suite à l’esprit la question du « pourquoi ». Pourquoi est-ce que un baiser qui reste ordinaire ne vaut jamais un baiser qui sort de l’ordinaire ? La réponse à cette question est plutôt simple : lorsque quelqu’un sort de l’ordinaire, ici, étant donné la présence du terme volé, il faudrait plutôt dire lorsqu’elle dépasse les limites, données par un