Un matin...une pensée
Le sabotage, tout le monde peut le pratiquer. Mais certaines personnes sont plus redoutables que les autres. Celles par exemples, qui ont soif de vengeance, ou celles qui ont un grand besoin d’amour, ou celles qui sont bien décidées à ne plus faire machine arrière. Et puis, il y’a celles qui veulent tout simplement quelque chose, quelque chose qui appartient à quelqu’un d’autre. Quoique c’est images là, paraissent se doter, d’une certaine manière, d’un trait de malheur, on trouvera sans doute, un petit espoir occulter derrière le blindage bien soudé de chaque personne. Raison qui, me semble-t-il, qu’il est souvent connu que c’est dans la condition spirituelle que l’âme peut trouver le salut qu’elle mérite. En effet, les gens espèrent entrer dans cette condition mystique dans l’espoir d’acquérir cet absolution profonde d’émotion éphémère, voir même une sureté de l’élévation à un rang de connaissance bourré d’une immense joie, qui charme peut être notre désir insatiable de liberté nommée d’Or. Mais en vérité, toutes ces reconnaissances et ces déballages que nous faisons de nous-même pour y parvenir, dans l’espoir de trouver que notre beauté n’est pas seulement un masque que nous portant pour camoufler et dissimuler le monstre qui existe à l’intérieur de chacun de nous , adviennent d’un véritable courage pour ceux qui avouent agir par vengeance ,ou bien aussi pour ceux qui tout simplement se font un horrible dessin de leur eux même et qui leur empêche de vivre. Vivre c’est penser, parce que même si le fait de penser est dans la mémoire , il fait surgir une sincère belligène personnel avec le monde, mais
principalement avec soi-même pour ainsi caresser et assumer le désespoir qui peut en résulter, pour enfin parvenir à transformer chaque moment passer en un rêve de bonheur, chaque présent en un aujourd’hui bien vécu , et enfin chaque éventuelle avenir en un rêve d’espoir pour rompre le cercle de la solitude. Lorsque Freud a eu le mérite de