Freud contre rousseau
Dans un premier temps, l’homme à l’état naturel est un homme bon. Il n’est toujours pas corrompu et dans ce sens j’entends qu’il n’a toujours pas perdu ses qualités naturelles. Il est un être avec une grande simplicité, il fait le strict minimum pour assurer sa survie et l’humain n’a pas de programmation naturelle. Il laisse en quelque sorte la nature mener son sort, puisqu’elle d’une extrême générosité avec ce-dernier et qu’il a confiance en elle. Plus l’homme est près de la nature, plus ce dernier retrouve le bonheur. La liberté naturelle de l’homme ne manque de rien, puisqu’il s’affranchi des demandes de