Un recit des trois glorieuse (plan détaillé)
INTRODUCTION :
Phrase d’entrée en matière, nature document, auteur et destinataire, date, contexte (déclanchement de la révolution de 1830)
PROBLÉMATIQUE :
Comment ce texte illustre-t-il la montée en puissance de l’insurrection populaire ?
PLAN : (en lisant les titres des parties, on doit voir quelle est la ligne suivie)
I. 27 juillet : De l’émeute à l’insurrection
- « sur les dix heures » (l. 1)
A. Des manifestations sans caractère dangereux
- regroupement des ouvriers imprimeurs dans jardins du Palais-Royal (« Vive la Charte ! » l.5)
- « enivrement », « exaspération » (l.6)
- lecture de journaux parus illégalement qui incitent à la résistance
- dispersés pacifiquement par l’armée (« avec toutes les précautions possibles » l.7)
- protestations pacifiques qui avaient pour but de persuader le roi de retirer les ordonnances
B. Le commencement de la révolution
- l’armée tire sur la foule (« jeunes gens » l.14 ; « frères » l. 14, 15 ; « la mort moissonne plusieurs de assistants » l. 16 ; « la foule désarmée » l.18)
- « Aux armes ! Aux armes ! » (l.18-19)
- la révolution débute vraiment avec les premiers coups de feu tirés pas l’armée
II. 28 juillet : Le destin paraît hésiter
- « à sept heures du matin » (l. 23)
A. La préparation des combats et l’enivrement populaire
- la mobilisation de la population se poursuit mais cela n’a pas un caractère organisé, peuple demandeur :
« Nous allons … pour savoir si nous aurons des armes et des chefs » (l.23-24)
« une bande… était venue enfoncer les portes de l’Ecole, demandant aussi à grands cris des armes et des chefs » (l. 27-28)
« Vive l’École polytechnique ! Vive les braves élèves ! (l. 30) garde nationale
- enthousiasme populaire : « cris frénétiques » (l. 31) ; « un enthousiasme, un délire que rien ne saurait dépeindre » (l. 32) ; « enthousiasme redouble » (l. 41)
- les troupes de Marmont prennent position et insurgés essayent de se procurer des armes