Une bonne classe
Introduction :
Le monde est constitué d’une multitude de personnes ayant des origines, des cultures et des personnalités différentes. Il est des meneurs d’équipe qui ne prennent pas toutes ces diversités en compte et se bornent à diriger leur groupe de façon stricte et autoritaire sans tenir compte de la personnalité de chaque individu.
Thèse (reformulation) : Selon Daniel Pennac, on n’obtient pas une cohésion de groupe en imposant sa loi. Le rôle du meneur d’équipe consiste à fixer un cadre clair, auquel chaque membre du groupe adhère et peut s’identifier, tout en laissant suffisamment de liberté à chacun, pour permettre l’expression de son individualité et de sa créativité.
Antithèse (contraire) :
A l’inverse il est des situations et des groupes, où il n’est pas possible d’atteindre des objectifs sans autorité stricte, même si cela devait être au détriment de l’expression de l’individualité. Les 3 questions à se poser :
1- Faut-il avoir des bases communes sur lesquelles le groupe peut s’appuyer/ se baser pour avancer ?
2- Est-il possible d’atteindre des objectifs tout en étant stricte et autoritaire ?
3- Peut-on obtenir un sentiment d’appartenance au groupe tout en laissant la créativité et l’individualité de chacun s’exprimer librement ? 3- Argument pour (+) :
Oui, on se reconnait dans un groupe, dans le fait que tous veulent atteindre un même but. Et ce but partagé va être constitutif de l’identité du groupe.
Ex. Lorsque nous sommes partis au Tessin nous partagions tous le même projet; celui de réaliser un film et mettant en place la créativité de chacun. C’est comme un puzzle où chacun amène une pièce pour arriver à un ensemble qui fonctionne. Argument contre (-) :
Non, parfois on ne se sent pas appartenant au groupe, car on ne partage pas les mêmes idées et opinions. Si trop de membres ont ce