Valérie larbaud
Fortune familiale qui lui assure une vie aisée et lui permet de parcourir l'europe. Il parle anglais, allemand, italien et espagnol et grâce à sa, il fait connaître les grande oeuvres étrangeres donc il fut le traducteur.
Atteind d'hémiplégie et d'aphasie en novembre 1935, il passe les 22 dernières années de sa vie en fauteuil roulant. Il sera soigné par le prof Théophile Alajouamine qui deviendra son ami et écrira même sa biographie.
Ce texte décris un train particulier « l'Harmonica-Zug» , qui est un train de luxe, cette expression semble etre une sorte de qualificatif général pour tous les trains. L'auteur évoque donc dans ce texte son voyage en train. Il fait un éloge du train. Ode : sorte de chant à la gloire de quelqu'un, quelque chose, ici → le train.
Qst : en quoi ce poème est-il lyrique ?
Plan :
I. Ce poème est lyrique car il montre l'expression de ses sentiments.
a) Par l'éloge du train
b) Personnification du train c ) Sorte de chant adressé aux trains
II. Il utilise les trains comme une sorte de métaphore de sa vie
a) les train sont les prolongement de sa vie
b) il utilise les train pour raconter à sa place ce qu'il ne peut lui-même raconter.
I.a ) Miraculeux bruit sourd : ligne 21 : antéposition pour accentué miraculeux.
Anaphore de O : vers 3 et 10, 20. polyptote du train : répéter un therme sous diférente formes richesse du train
Grâce aux trains, il a faculté d'échapper aux contraintes de la vie et du monde, liée au changement perpétuel de lieu, à la protection des grandes vitres du train, . "Ô train de luxe" "Ô Harmonika-Zug", Ô Orient-Express", adressées aux trains comme à des divinités tutélaires et maternelles.
b) Parle aux trains comme s'il comprenaient, comme s'il étaient en harmonie avec eux.
Ils tutoies, les trains, ou les