Victor Hugo et la société de l’époque. Le XIXe siècle en France, était un siècle mouvementé. La société française était passée entre plusieurs vents politiques. Trois républiques, deux royaumes et deux empires. Ces changements brusques poussent les auteurs à écrire du romantisme, ce courant littéraire, qui leur permettait de ressortir leur état d’âme, fasse à leur vie, leur ressentie ou leur société. C’est ainsi que Victor Hugo, romancier et poète français du XIXe siècle publia en 1832, « le dernier jour …afficher plus de contenu…

Tout d’abord, le jour de l’exécution de Claude Gueux, le condamné, avait été choisi judicieusement, un jour de marché, pour afficher son exécution aux passants. Alors, Victor Hugo annonce : « il paraît qu’il y a encore en France des bourgades à demi sauvages où, quand la société tue un homme, elle s’en vante. » Donc, le romancier utilise un paradoxe à la fin de la citation : « quand la société tue un homme, elle s’en vante. », pour afficher le manque d’humanisme du système judiciaire français et de sa société qui achève la vie d’un homme publiquement, joyeusement, et s’en sert comme spectacle et de leçon de morale au public. Ensuite, dans le poème …afficher plus de contenu…

Le champ lexical du temps : « quinze heures, de l’aube au soir et éternellement » sont des mots utiliser par Victor Hugo dans cette citation pour donner un effet graduel, c’est-à-dire une gradation, mais qui ne s’améliore pas. D’une dizaine d’heures à éternellement, l’auteur accentue les horribles conditions de travail des jeunes filles et leur misère qui ne fait qu’augmenter et se répéter.