Victorhugo
Dans les cinq premières strophes de «Fonction du poète » extrait du recueil, Les Rayons et les Ombres Ⅰ parue en 1839.
Victor Hugo fait l’éloge du rôle du poète dans la société en employant une réflexion profonde. Il attribue au poète une qualité divine l.23 « Dieu parle à voix basse à son âme » ce vers vient insister sur le fait que le poète est d’une certaine façon le messager du divin en effet il à le pouvoir de faire parvenir le message avec une certaine sensibilité qui l’aide à se faire comprendre des hommes et des femmes ; d’ailleurs le vers à la l.22 illustre de manière précise cette pensée « Homme, il est doux comme une femme »
Le poète d’après l’auteur est un guide qui conduit l’homme dans le bon chemin et qui l’aide à supporter ses souffrances. Quand Victor Hugo assimile la poésie à un intermédiaire entres les hommes et Dieu au vers « Car la poésie est une étoile/Qui mène à Dieu rois et pasteurs » ; il qualifie le poète de voyant.
Les exclamations accentuent la puissance de l’argumentation, ce qui suscite chez le lecteur une reconsidération du rôle de poète dans notre société. Le poète est un « rêveur sacré » mais encore celui qui à « le front éclairé », On peut noter que dans cet extrait de poème l’auteur s’efforce d’illustrer un poète au-dessus de la société. Le texte de corpus énuméré ci-dessus s’oppose avec le texte 3 : Théophile Gautier, « Le poète et la foule » España, 1845. Ici l’auteur attribue l’adjectif rêveur au poète ; Théophile Gautier dans ce poème le manifeste de manière explicite au vers 3 et 4 « Au poète, courbé sur sa lyre pensive, / La