Violence et société aux Etats-Unis 1860-1941
Accroche : Richard Hofstadter, pour décrire la violence criminelle contemporaine aux US, parle de « Gun Culture » : 190M d’hab sur 285 possèdent une arme à feu. […] (L’accroche n’est pas une formule commentée, il faut s’arrêter là, une seule formule levier : vision qu’on en a, mais la violence n’est pas limitée au colt.)
Définition des termes par mots clés :
VIOLENCE Une typologie des formes de violence dans l’intro, mais pas de déf exhaustive, restreindre à des éléments pertinents et interrogation sur les causes.
- Violence physique : menace de l’intégrité physique, homicide ou destruction brutale de biens,
- Violence morale ou psychologique : sentiment d’insécurité
- Violence sociale : racisme, xénophobie, discriminations, mépris, accusations. Travail des enfants. Violence presque exclusivement masculine, culte de l’autodéfense.
SOCIETE Introduire le terme « société » par les causes et les conséquences, à interroger en terme de durée, ouvre un axe de réflexion : les transformations de la société étasunienne. Pas d’ « inventaire de ma grand-mère ». Une société qui change (transformations éco, mobilité spatiale, évolution des mentalités) + lien avec la violence, différentes catégories : acteurs de la violence, témoins, victimes.
Bornes :
1860 : année qui marque le début d’une guerre civile.
1941 : attaque de Pearl Arbor, évènement qui confronte la société américaine à une violence internationale.
Problématique : Daniel Royot propose une interrogation historique qui refuse d’assigner sans équivoque la violence comme apanage de la société américaine : les Etats-Unis sont le terreau fertile d’un paradoxe vif où un idéal (paix civile et recherche du bonheur) se heurte à une violence polymorphe. (C’était notre ouverture) > Une problématique possible : interroger ce paradoxe.
Autre possibilité : interroger les transformations de la société, mais danger de tout voir sous le prisme de la violence.
Plus