Vision éthique
Nous pouvons avoir plusieurs visions éthiques sur le suicide. Il est difficile de juger un acte autant personnel, mais nous allons tenter d’en faire une étude objective.
Le suicide est la 3eme cause de mortalité chez les personnes de 15 à 44 ans. Ce phénomène touche particulièrement la Suisse qui répertorie de 1300-1400 suicide par année.
Il y a plusieurs types de suicides, nous allons en analyser quatre :
Pour commencer nous allons analyser deux exemples théoriques :
Tout d’abord, il y a le suicide considéré comme égoïste. Il vient d’une mise à l’écart de la société. Auparavant la religion permettait aux individus de s’intégrer dans un groupe. De nos jours, il y a un relâchement clair d’un sentiment religieux. Ainsi l’individu de notre époque est plus facilement mis à l’écart ce qui engendre une augmentation des suicides.
Puis, il y a le suicide considéré comme fataliste. L’individu se retrouve confronter à trop de restrictions. Sa liberté est très limitée. La société lui impose beaucoup de règles et de lois. L’homme se retrouve ainsi perdu et emprisonné dans un sentiment de non-accomplissement de soi. Ainsi il se replie sur lui-même et finit par se libérer de cette oppression par une façon ou une autre.
Ensuite, nous allons analyser deux exemples pratiques :
Lorsqu’une personne est gravement malade et qu’elle sait qu’elle n’y survivra pas. Elle choisira peut être de mettre fin à ses souffrances en se suicidant. Elle mettra fin à ses jours avant que la maladie le fasse.
Lorsqu’un individu perd des proches. Il peut être submergé par un sentiment de désespoir et de tristesse. Enfin ces sentiments finiront peut être par le pousser au suicide.
Le désespoir est un facteur très important dans le suicide. La personne qui se suicide cherche une échappatoire. Le but du suicide n’est pas la mort, mais la fin de la souffrance.