Voltaire-candide chapitre 3 analyse literraire
Le héros principal, Candide, un jeune garçon qui découvre toutes les formes du mal pendant ses aventures. Dans cet extrait, Candide a été chassé du château de Thunder-ten-tronckh et découvre la guerre, le premier mal du monde.
L’auteur fait la description détaillé du lieu ou se dérouille l’action. Tout d’abord, nous il est évident que Voltaire critique la guerre. Afin de parvenir à ses fins, et ainsi de prouver que la guerre est totalement stupide, il utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures d’amplification, comme des gradations, des amplifications et des accumulations, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique, et parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur, dès le début du texte. Par ailleurs, outre l’ironie, Voltaire décide de mettre en avant les absurdités de la guerre. Dans un premier temps, il insiste sur les similitudes entre les deux armées, par exemple en disant que « les deux rois faisaient chanter des Te Deum ». Ensuite, il montre que les raisons du combat ne sont autres que des ripostes non fondées entre les deux clans puisque Candide arrive dans un village bulgare que « les héros avaient traité de même ». En dernier lieu, il aborde, par l’emploi d’oxymores, la stupidité des troupes qui ont à cœur des