whisky japonais terminer
1. Maltage : (tambour/ au sol)
L’orge subit le processus de maltage, qui vise à activer les enzymes et augmenter la teneur en amidon, qui est ensuite transformé en sucre, puis en alcool. Pour apporter un arôme fumé au whisky, on brûle de la tourbe pour faire sécher l’orge. Certaines distilleries possèdent leur propre aire de maltage, mais la plupart délègue cette opération aux malteries.
2. Brassage :
A la distillerie, on broie le malt pour obtenir une farine grossière nommé « grist », qui est ensuite mélangée à de l’eau chaude dans une cuve appelée « mashtum » afin d’en extraire des sucres solubles. L’eau chargée en sucres, le moût (ou wort), est conservée. Pour les whiskies non maltés, d’autres céréales peuvent être mélangées au grist dans la cuve de brassage.
3. Fermentation :
Le mout est mélangé à la levure, puis chauffé dans un washblack. La levure se nourrit des sucres, produisant de la sorte de l’alcool et du dioxyde de carbonne. Ce processus de fermentation dure entre 48net 74 heures, et permet d’obtenir une bière assez forte et plutôt acide, nommé wash.
4. Distillation :
Cette étape consiste à distiller le wash. Quel que soit le type d’alambic, à colonne pour la distillation discontinue, le but est le même : extraire l’alcool du wash. Le processus est simple : le wash est porté à ébullition et , la température d’ébullition de l’alcool étant plus basse que celle de l’eau, l’alcool est expulsé du wash à l’état de vapeur ; cette vapeur est ensuite condensé et devient liquide. Pour la distilation discontinue, l’alcool est condensé dans condensé dans un condensceur tubulaire ou à serpentin, un modèle traditionnel qui produit un alcool plus lourd et plus gras. Le plus souvent, le whisky est distillé deux fois, la première fois dans le wash still, allambix en cuivre ( ou beer still aux USA), la seconde dans le spirit still ( ou low wines still), un alambic plus effilé. Le whisky irlandais est distillé trois fois pour créer un alcool