Wolkswagen blues
Dans les années 1980, les gens sont des personnes qui ne pensent qu’a eu. Une vague du « je », « me », « moi » est présente. Les gens se posent des questions de réflexion sur eux même, sur la vie et sur leurs rapports avec les autres. L’auteur Jacques Poulin présente cette vision dans son roman Volkswagen blues publié en 1984. Dans ce roman l’intrique est clair, dramatique et toutes les informations de plus sont intéressantes. Tout au long de l’aventure nous retrouvons la quête d’un frère perdu, nous pouvons aussi voire une évolution des personnages à travers le parcours. La question à se poser à la toute fin du roman est si celui-ci nous présente un fin pessimisme? Malgré le dénouement final qui choc Jack, sa partenaire et lui ont tout de même vécu une aventure avec une évolution psychologique positive.
Tout d’abord, le roman Volkswagen blues, nous présente une fin pessimiste. La vraie aventure et la scrutation du mystère de Theo commence au moment où Jack rencontre sa compagne de voyage, une jeune fille appelée la Grande Sauterelle. Ils se mettent en route ensemble dans le vieux minibus Volkswagen. L’homme cherche son frère parti depuis près de vingt ans, il a quitté le Québec pour voyager et pour trouver le bonheur. La fille veut se connaitre elle-même et révéler ses racines. Pendant Leur voyage, Jack et la Grande Sauterelle visitent des musées. À la fin du roman, il rencontre une femme dans un cabaret qui lui confie que la vie à North Beach est très difficile et que la plus part du monde qui y vivent sont dans la misèrent. Elle confie à Jack et la Grande Sauterelle que la dernière fois Qu’elle vit Théo il n’avait pas l’air de bien aller. (p.304 I. 24-25) C’est ce qui met un trouble dans la tête de Jack et qui lui apporte un sentiment d’inquiétude. Jack se sent très contrarié puisqu’il a toujours cru que son frère était supérieurs à lui et qu’il était plus heureux. C’est ainsi que Jack et la dame se rendirent à l’ endroit où il