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On peut également dire que les activités humaines de productions alimentaires ont un impact sur le dérèglement climatique dû à l’accumulation dans l’atmosphère du gaz à effet de serre. 30 % de ces gaz sont liés à la fabrication des pesticides et engrais, nocifs à la santé mais également à l’atmosphère, au fonctionnement des engins agricoles mais également à la fermentation et la respiration des cultures et des élevages. Les transports, les transformations de produit agricoles, les emballages et la commercialisation sont responsable de ce réchauffement climatique. Ces arguments sont prouver par des bilans carbone c'est-à-dire l’estimation de la quantité de gaz à effet de serre qu’il libère par activité ou par produit en gramme de CO². Par exemple, l’agneau provoque la libération de 25 449 g de CO² pour seulement 1kg d’aliment consommable. La production d’un steak haché provoque la libération de 26 879 g de CO² pour 1 kg d’aliment. Les aliments d’origine animale ont donc le plus gros impact sur l’émission de gaz à effet de serre. En revanche les aliments d’origine végétale ont un impact très faible 117 g de CO² émis pour 1kg de pomme de terre consommable. La solution est donc de privilégier les aliments d’origine végétale aux aliments d’animales donc d’adopter une alimentation végétarienne.
Ainsi, l’alimentation actuelle à l’échelle mondiale n’est plus envisageable. L’efficacité est clairement remise en cause de nos jours. De plus, les changements alimentaires dépendent principalement du développement