L'évolution des bonnes manières
Lorsque qu’on regarde l’évolution de l’homme à travers les années, on remarque que plusieurs des bonnes manières assimilées au cours des siècles font désormais partie, inconsciemment, de notre quotidien et de notre société. Certains experts sont portés à croire que les conseils d’alimentions ainsi que les domaines culturels amenés par la société nous amènent vers des habitudes et des bonnes manières contradictoire à notre nature. Selon eux, toute forme de régime amaigrissant, d’anorexie ou de boulimie sont réflexives et non intuitives. La génération de mangeurs que nous sommes tend à supposer que beaucoup d’humains ont ce trouble névrotique. Ils refusent de manger afin d’être bien perçus dans une société stéréotypée. Est-ce l’exemple de notre nouvelle génération ? En tentant de répondre à cette question, cela m’amène à penser au philosophe Nietzsche qui a souvent fait référence à la société en général. Selon lui, la société est en constant déclin. À la suite de ma problématique, je suppose que Nietzsche appuierait mes dires par ses principes individualistes, anticonformistes et marginaux. À travers cela, je vous expliquerai ma position.
Selon Nietzsche, toute forme d’influence autre que celle de soi-même est perçue comme des sous-hommes (des faibles). Une personne qui tente de fuir les difficultés, qui dépend du regard des autres, qui est un mouton ou qui est soumis à la culture est pour Nietzsche un faible. Pour être un « surhumain » (énergie qui pousse le dépassement de soi), il faut avoir toutes les qualités requises : ne pas se plaindre, ne pas se soucier de la pensée d’autrui, être exigeant envers soi et envers les autres et refuser de faire partie d’un « troupeau » (groupe d’individu). Par ces exemples concrets, on remarque que Nietzsche est anticonformiste, individualiste et marginal.
Utiliser des régimes amaigrissants, être boulimique ou anorexique afin de correspondre