Malgré la succession de rencontres internationales avec pour sujet l’eau affin d’éviter qu’elle ne devienne comme le pétrole une denrée monnayable, aucune solution ne ressort excepté celle de privatiser l’eau. De plus la population mondiale ne fait que croître et avec elle les besoins essentiels. Les pays Nord et Sud démarquent une fois de plus par leur accès à cette denrée qui continue de se raréfier. Des conflits se créent évidement. Nous allons les étudier dans un premier temps et dans un deuxième temps, nous allons étudier leurs solutions comme pour beaucoup de choses l’argent régit sur ces solutions et certains pays ne peuvent y accéder.

On trouve des conflits entre l’industrie et le tourisme où chacun de son côté désire une eau propre pour des raisons et utilisations différentes. Dans ce cas, comme on peut le voir dans le document 2, la France 71% de ses ressources pour l’industrie et les centrales thermiques. Un autre grand conflit est celui entre les villes et l’agriculture en général où les besoins ne sont pas les même pour les pays comme on peut le voir dans le document 2 : par exemple à Malte 100% des demandes sont urbaines et en Tunisie où au contraire 90% des demandes sont pour l’agriculture contre 10% pour les villes. Un autre conflit encore est entre les agriculteurs et les écologistes qui luttent contre l’utilisation de pesticides et engrais qui polluent les nappes phréatiques. D’autres conflits existent entre des pays comme l’Égypte, le Soudan et l’Ethiopie qui se battent pour le prélèvement sur le Nil avec le grand barrage d’Assouan ou encore la Turquie, la Syrie et l’Iraq pour le prélèvement sur le Tigre et l’Euphrate. Dans ce cas de conflit le pays en amont, dans ces exemples, l’Égypte et la Turquie, se retrouvent avec un avantage sur le pays en aval. En effet ils peuvent construire de nombreux barrages et menacent les pays en aval de diminuer le débit qu’ils laissent passer. Le barrage devient alors une arme.

Une solution pour garder