L'enfant d'un seul parent
Depuis la réforme de 2005, les enfants naturels et les enfants légitimes sont égaux. Plus aucune distinction n’est faite à l’égard de l’un ou de l’autre. Mais pour la filiation, dans les cas où l’enfant est né pendant le mariage et l’enfant né hors le mariage, le législateur fera une distinction pour approuver la filiation paternelle.
On appel monoparentalité, le fait qu’une personne éduque seul un ou plusieurs enfants. Cette monoparentalité peut avoir plusieurs causes : une personne qui adopte seul un enfant, le divorce des parents, ce qui fait qu’un seul des parents a l’autorité parentale, le décès d’un des parents… Mais aussi dans des cas où un des parents est déclaré absent. Alors dans de nombreux cas, la filiation entre l’enfant et le père ou la mère n’est établit que pour un seul parent. Celui-ci aura comme pouvoir, l’autorité parentale. Cette faculté est exercée normalement par les deux parents, mais si un des deux venait à manquer alors l’autorité parentale sera pratiqué unilatéralement par le parent restant. En France, environ 20% des familles sont des familles sont des familles monoparentales et le plus souvent c’est la mère qui est seul à élever ses enfants. C’est-à-dire une femme sur cinq en 2008 alors qu’en 1980, elles n’étaient qu’une femme sur dix. La monoparentalité tant à s’accroitre en France, le droit doit-il donner des limites à cette mono filiation ? Les dérives tel que l’accouchement sous X, l’adoption de parent de même sexe doivent-elles être régit ? Pour y répondre, distinguons déjà, la filiation charnelle d’enfant avec un seul parent, c'est-à-dire entre un enfant et sa mère ou son père biologique et dans une seconde partie la filiation non légitime, c'est-à-dire, que la filiation soit artificiel, comme l’adoption.
I. Monoparentalité par filiation biologique
A. La filiation d’un seul parent
Avant la réforme du 4 juillet 2005, le législateur distingué les enfants nés