L'enigme du désir : ma mère, ma mère, ma mère, dali
Devoir n°2 :
Analyse d’œuvre : l’Enigme du désir : ma mère, ma mère, ma mère, Dali, (1929)
Nous allons étudier une œuvre peinte par Salvador Dali en 1929, intitulée : l’Enigme du désir : ma mère, ma mère, ma mère. Il s’agit d’une huile sur toile, aux dimensions de 110X150 cm ; œuvre qui est aujourd’hui conservée au musée d’art moderne de Munich.
Le peintre, Salvador Dali, dont le nom complet est Salvador Domingo Felipe Jacinto Dali i Domènech, 1er Marquis de Pùbol, était un artiste peintre, sculpteur, photographe, écrivain et scénariste (cinéma Espagnol).
Il est né le 11 mai 1904 à Figueras en Catalogne. Son enfance fût profondément marquée par la mort de son frère ainé, décédé un an avant la naissance de Dali. Son père, autoritaire, en serait responsable. Suite à cet incident ses parents firent un transfert du frère ainé sur Dali, ce qui le troubla et le marqua considérablement. En effet, il portait le même prénom que son ainé : Salvador. Sa mère décéda en 1921 et Dali fût à nouveau marqué par cette tragédie ; détestant son père et idolâtrant sa mère. C’est alors en 1922, suite à l’obtention de son baccalauréat, et par ambition d’être reconnu et idolâtré du public (par le biais de sa peinture) que Dali rentre à l’Ecole des Beaux Arts de San Fermando à Madrid.
En 1926, se rendant à Paris, Salvador rencontre Picasso, puis le groupe du mouvement surréaliste : Tristan Tzara, Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard,…, et sa femme, Gala. C’est alors, trois années plus tard en 1929, que l’artiste intègre officiellement le mouvement surréaliste (…). Mais c’est aussi à partir de cette année que Dali développe sa théorie de «la paranoïa-critique» qui repose sur le délire d’interprétation, applicable à l’art mais aussi à la réalité. Son but est ici de dépasser la perception habituelle, jugée trop pauvre, au profit d’une appréhension du réel démultipliée en corrélation avec l’emmagasinement de notre inconscient.
Comme je l’ai indiqué précédemment,