L'epargne point de vue generale
Au niveau macroéconomique, la comptabilité nationale définit la consommation finale des ménages comme la valeur des biens et services marchands et non marchands utilisés pour la satisfaction des besoins individuels.
L'épargne est la partie non consommée du revenu disponible, c'est-à-dire net d'impôt.
Les questions de la consommation et de l'épargne des ménages sont au centre du débat économique contemporain.
I. La préférence keynésienne va à la consommation…
A. Au cœur de l'arbitrage, le revenu
B. Au cœur de l'analyse, la fonction de consommation
II. … dont les variations sont soumises à nombreux facteurs
IA. Des «facteurs objectifs» affectant la propension à consommer
IB. Des «facteurs subjectifs» révélant la propension à épargner
Extrait du document:
Ceci peut être inscrit dans un large horizon de critiques et de reformulations, ciblant principalement la définition du revenu. Kuznets et le problème d'une propension moyenne à consommer constante : il a pu observer une fonction de consommation linéaire avec une propension marginale à consommer qui était sensiblement plus élevée qu'à court terme, mais qui était égale à la propension moyenne – c'est-à-dire qu'il a découvert que Keynes avait tort en disant que le revenu absolu détermine la consommation, et que la propension moyenne à consommer (C/Y) était décroissante, ou Rose Friedman et Dorothy Brady et la question de la relativité du revenu. La plus virulente d'entre toutes est celle du revenu permanent de Milton Friedman : la consommation ne dépend pas du revenu courant mais de la richesse (revenu permanent). Les individus ont un objectif de patrimoine constant et ils ajustent leurs comportements de consommation pour atteindre cet objectif.
Avec cette critique, c'est le début de la fin de l'hégémonie keynésienne interventionniste en matière de politiques économiques qui a sonné.
Echantillon de sources utilisées:
D’Agostino, S. ; Deubel, P. ; Montoussé, M. ; Renouard,