1.-Pensez-vous que Mersault est insensible au monde et aux gens qui l´entourent ? Justifiez votre réponse et utilisez des citations du roman.

Non, je ne crois pas que Mersault soit insensible au monde et aux gens qui l’entourent. D’abord, il s’excuse plusiers des fois avec les gens qui l’entourent pour le décès de sa mère. Si bien qu’il ne soit pas insensible au monde, pendant la première partie du roman, il me semble quelques fois qu’il trouve la vie absurde et ennuyeuse. Mais il change d’opinion au long de la deuxième parti du roman, quand il est dans la prison. Là, il perdre sa liberté et d’ailleurs il est condamné à mort pour le meurtre de l’arabe. Dans sa cellule, il commence à exprimer ses émotions, ses souvenirs, ses souhates. Il devient très sensible, il s’accroche à la vie profondément.

J’ai choisi les suivants passages du roman pour mettre en évidence ce que je viens de dire.

En premier lieu ; les excuses de Meursault près du décès de sa mère.

« […] J’ai demandé de congé à mon patron et il ne pouvait pas me les refuser avec excuse pareille. Mais il n’avait l’air content. Je lui ai même dit : Ce n’est pas de ma faute. Il n’a pas répondu. J’ai pensé que je n’aurais pas dû lui dire cela ».

« J’ai pris le tram pour aller à l’établissement de bain […] J’ai retrouvé dans l’eau Marie […] Jai passé ma main autour de sa talle […] Quand nous nous sommes habillés elle a eu l’air très surprise de me voir avec une cravate noir et elle m’a demandé si j’étais en deuil. Je lui dis que maman était morte depuis hier […] Elle a eu un petite recul […] J’ai eu envie de lui dire que ce n’était pas de ma faute […] Cela ne signifiait rien. De tout façon on est toujours un peu fautif ».

En deuxième lieu ; la vie absurde et ennuyeuse pour Meursault.

« J’ai pensé que c’était toujours un dimanche de tiré, que maman était maintenant enterré, que j’allais reprendre mon travail et que, somme toute, il n’y avait rien de changé »

« Marie es venue me