L'homme aux cercles bleus
Aussi lorsque le cadavre d’une femme est retrouvé au centre de l’un des cercles, la recherche s’oriente autour de Mathilde et de ces deux locataires. Charles Reyer, l’aveugle beau mais mauvais et Clémence, la vieille fille obsédée par les petites annonces de rencontre.
Tandis que l’homme aux cercles reste insaisissable, les meurtres continuent. D’abord le Dr Pontieux et puis Delphine Le Nermord. Le mari de celle-ci, un professeur qui écrit sur l’histoire Byzantine avait toutes les raisons de la tuer. Elle voulait divorcer et elle était riche. Interrogé, Le Nermord finit par craquer et avouer qu’il est bien l’homme aux cercles, cependant, il nie être le meurtrier et assure que quelqu’un s’est servit de son obsession pour commettre les meurtres. Comme tout le monde convient qu’il fait un coupable trop évident, Le Nermord est relâché.
Adamsberg envoi Danglard enquêté dans la ville natale du Dr Pontieux et celui-ci découvre que le Dr était le fiancé de Clémence, celui qui l’a laissé choir il y a cinquante ans. Clémence se serait servit des cercles dont lui aurait parlé Mathilde pour faire croire à un maniaque et, comme la police tardait à trouver l’homme aux cercles et risquait de s’attarder sur le Dr, elle aurait tuer Delphine Le Nermord pour les mener à lui. Mais lorsqu’ils arrivent chez Clémence, celle-ci, qui pourtant venait de revenir après quelques jours passé à la campagne a disparu et pendant plusieurs semaines, les recherches n’aboutissent pas.
Pendant ce temps, Adamsberg continu d’interroger Reyer. A part Mathilde, il est le seul a avoir côtoyé Clémence et ses impressions en tant qu’aveugle intéressent Adamsberg. Plusieurs choses le chiffonnent. L’odeur de pourri et de fermenté que ceux qui ont croisé l’homme aux cercles ont décrit, et un article écrit par Delphine Le