L'individu au travail
La liberté d’établissement est définie dans les articles de l’ordonnance du Conseil Européen. Cette liberté comporte l’accès aux activités non salarié, la convention d’entreprendre ainsi que leur gestion dans tous les Etats membres.
2. Liberté de circulation :
La liberté de circulation est le droit de tout individu de se déplacer dans un pays, de quitter celui-ci et d’y revenir. La liberté de circulation est reconnue dans la déclaration universelle des droits de l’homme. Elle est cependant contrariée par les législations nationales limitant les déplacements intérieurs des frontières, plus ou moins étanches, tels que les murs ou barrières de séparation.
La convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales exclue par exemple les étrangers en situation irrégulière de ce droit.
La convention internationale sur la protection des droits de tous les immigrants et des membres de leurs familles (non ratifié par les Etats de l’UE) réaffirme ce droit tout en y admettant une série de restriction.
3. Liberté d’entreprendre :
C’est la source des richesses individuelles et collectives. Elle permet l’éclosion d’une multiplicité de réponse à l’infini, de besoins présent dans la société. Elle garantit leur utilité sociale et leur moyens de subsistance à toutes celles et à tous ceux à qui elle pourvoi un emploi.
Aucune action de redistribution ou d’allocation de richesses, assise sur la contribution publique, ne peut durablement prospérer sans que des entreprises n’est préalablement créée les richesses correspondantes.
Entreprendre n’est le privilège de personnes, c’est une liberté fondamentale. Que chaque homme et chaque femme à le droit d’exercer.
4. Liberté de travail : voir annexe
5. Le droit à l’emploi :
Le droit au travail est l’un des droits de l’homme proclamé dans la déclaration des Nations Unies de 1948.
« Toutes personnes à droit au travail, au libre choix de son travail, à des