L'inquiétude humaine
Intro : L'inquiétude se traduit par la peur, l'absence de quelqu'un ou de quelque chose. On peut aussi la traduire par le doute de l'homme, son manque de confiance en lui comme en son entourage ou en dieu. Dans les deux textes de Jean de La Fontaine et Voltaire, on va voir et expliquer quelle forme d'argumentation fait passer le mieux « la peur de l'homme ».
Développement : Chaque conte philosophique a sa propre forme d'argumentation. Dans le texte de Voltaire, on a là, un essai et dans celui de Jean de La Fontaine, on a de la poésie engagée.
Je pense que chaque genre d'argumentation à sa propre pertinence, bien que certaines soit plus convaincantes que d'autres.
On voit aussi d'autres formes d'argumentation comme le pamphlet (ex : Aristophane), l'éditorial (dans les journaux), le discours (Démosthène à l'antiquité Grecque) …
Mais dans le cas des deux textes étudiés, je dirais que celui qui me semble le plus claire est celui de Jean de La Fontaine. La poésie engagée. Je suis de cet avis car les vers, du fait qu'ils soient courts, je comprends mieux l'histoire et la vit plus intensément. J'arrive mieux à suivre l'histoire et je ressens avec les personnages, leurs joies comme leurs peines et ici, leurs inquiétudes. On pourrait s'appuyer sur les vers 37-38-39-40 « Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre l'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. » Dans ces vers, on comprend que le personnage est heureux d'avoir obtenu tout cet argent mais en contrepartie, il n'a plus le droit de chanter, ce qui était sa passion. On voit alors qu'il doute et se demande si il aurait préféré être pauvre mais pouvoir faire sa passion, ou si il prefère etre riche mais etre enfermé dans sa cave à se taire jusqu'à la fin de sa vie.
Puis, à la fin de la poésie, on se rend compte que le pauvre homme