L’ivg

1. Interrompre une grossesse un droit de la femme
Interrompre volontairement une grossesse n’a pas toujours été un droit de la femme. En France, au Moyen Age et à la Renaissance le fait même de refuser un enfant était impensable, car considéré comme un cadeau de dieu. La religion faisant les lois. Plus tard jusqu’à la légalisation de l’ivg en 1975, les femmes ont gagné en indépendance et en considération. C’est alors qu’il commença à s’exercer des interruptions de grossesse clandestines, pratiquées avec peu d’hygiène, et engendrant de graves problèmes de santé voir la mort.
Interrompre une grossesse donne à la femme non seulement la maîtrise de son corps mais aussi de la tournure de sa vie. En effet une grossesse non désirée et donc un enfant non désiré n’est pas préférable, pouvant avoir des conséquences sur la vie de l’enfant et la psychologie de la mère, surtout si elle est jeune.
Le fait de refuser un enfant n’est pas vu par tous comme un droit naturel de la femme, et au contraire comme un crime. C’est pour cette raison qu’il a fallu une grande avancée dans le temps et une autre mentalité de la France pour pouvoir légaliser cette pratique. Aujourd’hui l’interruption d’une grossesse de manière médicamenteuse ou chirurgicale est censé être considéré comme un quelconque acte médical, dans la mesure ou elle permet simplement une modification corporelle, dans le but de se sentir « mieux ».

2. La réalité actuelle
Depuis le vote de la loi Veil, un nombre bien plus important de femmes a pu accéder à l’interruption de grossesse par moyen légal et hygiène. Cette pratique intervient la plus part du temps chez de très jeune femme. Cependant, des avortements clandestins ont toujours lieux. En effet, cette loi ne s’applique pas à toutes les femmes souhaitant interrompre une grossesse, les mineures n’y ayant pas accès et les femmes p