L’Orient des combattants et des voyageurs
Histoire et œuvre picturale :

L’histoire de l’Art fût bouleversée lors de l’expédition de Napoléon Bonaparte, envoyé par le gouvernement français (afin de l’écarter), pour empêcher les anglais de contrôler la route des Indes (Des peintures, faites part Antoine-Jean Gros (qui n’y était pas) nous illustre ce voyage, tel que Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa*, Combat de Nazareth, La Révolte du Caire). En effet, cette campagne d’Egypte pris plutôt une allure d’expédition scientifique, le mathématicien Monge y rencontrais Dominique Vivant Denon (un ancien diplomate et écrivain( auteur d’une nouvelle : Point de lendemain, devenu graveur à l’Académie et futur conservateur du musée du Louvre). Dominique Vivant Denon était chargé de choisir des éléments des pays conquis qui pourrait enrichir le musée Napoléon.
D’Orient il rapporta, les volumes de son Voyage en Egypte. La mode de l’orientalisme naissait, en effet les turqueries et autres chinoiseries du 18ème siècle disparurent pour laisser place à un Orient qui faisait rêver de voyage toute une génération. Même le mobilier connut sa mode orientale, pendant un certain temps un style de mobilier fût baptiser « retour d’Egypte ». (( Avec cette mode mobilière vint l’égyptomanie, ou la mode égyptienne, mais celle-ci était déjà présente depuis la Renaissance, seulement grâce au « retour d’Egypte » on a commencé à ce servir de Sphinx ou d’obélisque (le grand obélisque : Paris) comme élément de décor.
C’est grâce aux publications de Jean-François Champollion (Précis du système hiéroglyphique) que l’égyptologie moderne est née, avant on s’intéressait surtout au déchiffrement des hiéroglyphes. Le musée Charles X, le Louvre ainsi que le British museum regroupe les trouvailles archéologiques et accueil de nombreux artistes dans ses salles consacré à l’égyptologie. Outre l’intérêt scientifique et le goût des voyages, cette mode à été la plus durable et la plus étendue. En effet,