L'écume des jours de boris vian
Tout d'abord, l'Écume des jours illustre la vision critique de Boris Vian envers l'époque du jazz des années 20 avec la musique de Duke Ellington, du théâtre de l'absurde selon, la vision pessimiste qui est présentée comme l'existence humaine et de l'existentialisme de Jean-Paul Sartre, où l'essence de la personne est guidée par les autres, le sens de l'être correspond aux yeux de l'autre. Effectivement, Vian critique le travail en général dans la société, il exprime une vision dramatique du travail et se voit dans l'obligation de travailler, même si cela le dégoute. Il manifeste un comportement d'antipathie vis-à-vis des travailleurs, car Colin n'a pas besoin de travailler pour gagner de l'argent puisqu'il est riche comparativement à son ami Chick qui travaille tous les jours et doit tout de même demander de l'argent à son oncle puisqu'il n'arrive pas à vivre adéquatement. Ainsi, le passage ou Colin se rend à la patinoire et rencontre un travailleur qui distribue les casiers aux clients, Vian infériorise la tâche de l'homme : « tracé des initiales du client sur un rectangle noirci à cet effet, à l'intérieur de la cabine. » (chap. III, p.40) le travailleur de la patinoire est déprécié par colin, car c'est un travailleur et qu'il se servira de son pourboire pour manger, puisqu'il ne bénéficie pas d'un salaire, Vian en conclu que c'est un menteur. : « Un homme à