La morale est une science traitant un ensemble de normes et de règles de conduites ayant des valeurs rattachées à des traditions religieuses, ethniques idéalistes. Elle est propre à un individu ou un groupe de personnes fondée sur le bien et le mal.
L’éthique est la recherche raisonnable de la bonne conduite et un jugement relatif de comportements dans le cadre d’une situation donnée.
Dans l’article « éthique et gouvernance » extrait de la « revue management et avenir », Jacqueline Dionne et Gilbert La Rochelle explique que l’éthique est une réflexion axiologique qui sous-tend le comportement des individus dans des situations concrètes. Elle est la science de la décision et de l’action (Bourgon 2003)
En d’autres termes, l’éthique est un processus clarifiant les motifs d’une décision ou d’un acte parallèlement à ses valeurs exprimées.
Quelques dictionnaires français (Petit Robert ou Larousse) ont considéré l’éthique comme synonyme de « la morale » sauf que plusieurs courants idéologiques (spinoziste et kantienne) ont souligné fortement la distinction philosophique entre les deux termes en insistant sur la dimension relative de l’éthique et celle absolue de la morale.
La déontologie est le code de comportement et la bible des règles et des manières à respecter.
L’éthique des affaires est la science en relation avec le monde professionnel déterminant les finalités fondamentales et les règles à respecter au sein d’une entreprise.

L’éthique des affaires concerne toutes les parties prenantes : du dirigeant au moindre salarié ainsi que les acteurs sociaux qui l’entourent. Pour un futur manager, il est essentiel d’assimiler les objectifs stratégiques d’une entreprises (maximisation du profit et la création de valeur) mais aussi les réalisés en respectant des obligations de comportement fixés par des procédures et règles internes et externes (droit) à l’entreprise.
J’étais confrontées à plusieurs situations influant mes attitudes professionnelles :
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