L'Epargne
L’évolution de l’épargne : mesures et analyses
Définitions et indicateurs
L’épargne est 1 flux et non un stock pour compta nat : solde du compte de revenus des SI (revenu dispo – C° finale).
S nationale = S des Apu + ent + ménages + nationale (transactions courantes):
S Apus (état+ODAC)= EBE Apus + impôts – Prestations sociales= Revenu Dispo Brut – C° finale (part non individualisable) = S. Depuis 20 ans en besoin de financement, donc sa part baisse dans l’S nationale
S ent= EBE – intérêts versés – dividendes versés – impôts sur sociétés = RDB =Sbrut =autofinancement
S ménage= RDB – C° finale= Sbrut+ Sfinancière(immobilière+placements)
PIB+M=C+I+(G-T)+X S – I = X – M : si X-M<0 alors en besoin de financement de l’épargne ext.
En 2008 chine X-M>0 à hauteur de 10% de leur PIB, S =50/50 ent/ménages (Doit doc trouver moyens de leur faire utiliser S sinon participe à la hausse de l’euro, etc. Créé déséquilibres extérieurs).
A noter que les différents systèmes de retraite sont importants. (…) cf p.3
B. Evolution
19e, peu d’indicateurs, cependant : avant 1850 autofinancement prédomine car faiblesse Kx nécessaires
Après 1850 suppose abondance d’épargne car taux d’intérêt restés faibles (3,9% en 1840 & 4,1% en 1881)
S bien utilisée ou pas ? Moitié S investie dans Agric et Ind en Fr, puis finance beaucoup les besoins de l’Etat (militaires) & l’étranger (moitié dans financement public), Peu d’investissement, faible dynamique Dintérieure (autofin). En Fr 1850 : 78% S= Fonds d’Etat ; 22%= Iprivés.
Depuis 70s : crise a modifié comportement S des différents SI
S nationale : des Apu, entre 70 & 90 ÷3 en Fr, mais reste positive. Compensée par S SNF. Celle de ménages est stable 45%
Fortes traditions nationales : pays anglo-saxon= taux d’épargne faible, tandis que pays asiatiques : taux S très fort : chine 40%,; puis pays intermédiaires : Fr, Allgne. Comparaison difficile car les système de protection sociale, et facteur