l'historien et les mémoire de la guerre d'Algérie
La mémoire est le souvenir d’un événement qu’on a vécu ici la guerre d’Algérie mais cette guerre est vécue différemment selon les acteurs (soldats, pieds noirs, harkis, FLN). Chaque mémoire est donc suggestive, le rôle de l’historien va donc être de travailler avec objectivité : Dire la vérité.
2 exemples pose un problème de mémoire : Il fallut attendre 1999 pour on utiliser le terme de guerre avant c’était les événements d’Algérie enfin en 2001 la Marseille a était siffler par les supporteurs Algériens lors d’un match de foot.
Comment peut-on expliquer 50 ans après la persistance de conflit mémoriel ?
I- Les mémoires de ceux qui vécus la guerre d’Algérie
A- Les mémoires des témoins sont suggestives, différente les unes des autres :
Prenons une date= Le 19 mars 1962 le lendemain du cessez le feu en Algérie.
Quel souvenir les différents témoins gardent-ils de cette date ?
Les appelés se sont les français qui vont faire le service militaire (plus de 2 ans) à partir de 1956. Ils ont entre 18 ans et 22 ans.
Les rappelés qui ont déjà fait le service militaire (6 mois).
≈2 millions de soldats
Le 19 mars 62 ils le vivent comme un soulagement de rentrer chez eux. MAIS en même temps du gâchis, gâcher leur jeunesse.
Les officiers (de carrière) qui ressente une humiliation (perdu 2 guerre dont Indochine) et en plus perdre la guerre d’Algérie sur le terrain les français ne sont pas perdant.
L’OAS (organisation armée secrète) veule que l’A reste française, le vivent comme une trahison (Ne pensaient pas que De Gaule donnerait l’indépendance donc c’est pour ça qu’ils ont fait des attenants et tenter de tuer De Gaule).
Les pieds noirs : Colon français (1 million) pour eux ne marque pas la fin car beaucoup sont tués après c’est le début de l’exode, de l’exil.
Les harkis sont des Algériens pour l’Algérie française, se battent au côté de l’armée française. Ils sont massacrés par le FLN,