l'indépendance du pouvoir judiciaire au maroc
C’était en 1er juillet 2011 que le Maroc a connu officiellement la dernière révision de la constitution, voilà une modification qui est venue au parallèle et à cause des variables troublement qu’a connue le monde et qui a conduit en effet à la chute de plusieurs régimes politiques nommés autoritaires régnaient les pays pour une durée de plusieurs décennie.
Le Maroc en tant qu’Etat arabe n’a pas pu échapper, à son tour, de ce troublement, et un mouvement nommé « le mouvement 20 Février » est apparu en 2011oppetant de plus d’équité, d’égalité et de liberté.
Pour bien prévenir le pays des états de violence et de sang et juste en 9 Mars 2011 le souverain marocain Mohamed VI a adressé au peuple marocain un discours en expliquant qu’une modification constitutionnelle et institutionnelle va être faite.
Ce fameux discours a fait donc le point de départ sur la base duquel la constitution 2011 verrait le jour.
La société civile qui a été durant les dernières décennies au cœur des changements dans la société devrait voir son rôle et son statut consacrés constitutionnellement, tout comme les partis et les syndicats.
Il s’agit de faire de ce moment historique lié à la dynamique du mouvement du 20 février un moment de contribution active au changement profond de la loi suprême du pays, un moment d’émergence de force de propositions, un moment pour surmonter les processus inachevés de réformés, pour édifier un Maroc moderne et démocratique, qui valorise pleinement ses ressources humaines et confiant dans les potentialités de sa jeunesse.
Ainsi, une commission a été faite chargée de la rédaction de la nouvelle constitution dont ses membres sont en mélange entre des droitiers, des juristes spécialistes en droit constitutionnelle, des politiciens… L’objet donc c’est de faire un texte constitutionnel bien interdépendant qui réaliserait l’intérêt de toutes les tranches de l’Etat.
En effet, une opportunité est donnée aux sociétés